Dernier monstre sacré du grand reportage, dans la lignée des Albert Londres et des Joseph Kessel, le “vieil éléphant” Bodard a construit une œuvre romanesque, puissante, baroque et sensible. Et pourtant, malgré un incontestable succès public, critique et médiatique, cet aventurier des lettres n’a pas encore trouvé la place qu’il mérite dans le petit monde frileux de la littérature française qui n’apprécie guère -contrairement aux anglo-saxons- le mélange des genres. Quelques mois après sa disparition, Lucien Bodard reste à découvrir et s’il est des auteurs sans histoire, la sienne épouse celle, tumultueuse de notre siècle.
Lucien Bodard : "Lulu le chinois"
D’ Olivier Weber et Michel Vuillermet
Publié le 18 de febrero de 2011Synopsis
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